comme un lundi

Publié le par benoit

Il pleut dru. je parcours à vélo les trajets de l'hôpital à chez moi. bien sûr, j'arrive trempé. je discute avec mon professeur du sujet de thèse et je dois bien constater que l'on avance lentement, que la tâche est ardue. lors d'un séminaire sur searles, j'ai la bonne surprise de voir qu'un collègue a transcrit pour moi les kanji en hiragana, mais le vocabulaire reste très spécialisé et j'ai l'impression de les ralentir. en fait j'accuse un contre-coup, là. dur dur les lundi. on experimente ce si different mode de communication avec les japonais comme dans le roman d'amélie nothomb; par exemple en parlant trop vite j'ai rappelé au professeur qu'il devait chercher du travail pour vanessa lors du congrès de ce week-end, alors que j'aurais du le laisser venir, et n'ayant pas d'idée mais ne pouvant répondre par la négative, il m'a trouvé " un travail facile mais important " c.a.d remplir le verre d'eau du conférencier avant la conférence. voilà. et je comprend que ce travail ne dise pas vraiment à la demoiselle. ..
je ne m'en fais pas, tout cela fait partie de futurs bons souvenirs. haut les coeurs!! ganbatte ganbatte ! question : le " ganbatte " est-il, en tant que signal social d'encouragement nécessaire à ne pas fléchir, un facteur prédictif de décompensation anxieuse ou depressive en progression au Japon?

Publié dans kaniga

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J
Hahahaha !! Et le pire c'est que tu avais lu le livre xD<br /> Vous allez finir par nettoyer les chiottes Mr Piget, j'vous dit moi ^^
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